L’Association des entreprises de produits alimentaires élaborés (Adepale) s’inquiète des possibilités de répercuter le surcoût des matières premières. La faiblesse de l’euro face au dollar frappe particulièrement les transformateurs de produits de la mer. Le coût en euros de leurs matières premières, composant essentiel du prix de revient des produits finis, a bondi de 17 % entre juillet 2014 et janvier 2015 à prix d’achat constant. Sont directement touchés les importateurs et industriels utilisant du poisson blanc, des crevettes, du thon, du saumon sauvage ou encore des œufs de poisson.
Dans un communiqué, l’Adepale, qui regroupe 250 entreprises agroalimentaires, en appelle « à la responsabilité économique et sociale des acheteurs de la grande distribution pour maintenir durablement une activité de transformation alimentaire en France ». L’appel sera-t-il entendu ? Rien n’est moins sûr, mi-février, l’Association nationale des industries agroalimentaires (Ania) dénonçait de son côté « le déni de négociation des enseignes qui exercent une pression insoutenable sur leurs fournisseurs. »
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